Texte du bulletin pour le mag d’avril 2015

 

 

 

 

 

Quel est l’intérêt de Monsieur le Maire de dramatiser outrancièrement la situation financière de Mazan ?

 

Il parle toujours de « recettes qui stagnent (impôts) », « de manque à gagner »….

 

Il provoque chez nos concitoyens une inquiétude inutile sur l’avenir de notre commune.

 

 

 

Mazan a des recettes de fonctionnement (impôts locaux, dotation de l’état…) supérieures de 5,2% à la moyenne des communes de même importance et, ceci, malgré une dotation à 553 800€ en baisse de 35 682€.

 

En 2014, la recette des impôts locaux est en hausse de 80 000€ !

 

 

 

La commune a une situation financière que bien des collectivités aimeraient avoir (en 2013 un excédent budgétaire de 491 564€).

 

Ces ressources doivent être mises au service de tous les Mazanais dans leur vie quotidienne :

 

– Permettre aux 426 élèves des écoles publiques de bénéficier gratuitement des activités périscolaires

 

– Rendre la ville accessible à tous, en particulier aux personnes à mobilité réduite (réfection des trottoirs de la ville…)

 

– Aider nos concitoyens dans la difficulté face à la crise économique. Ils sont de plus en plus nombreux à avoir recours à l’aide fournie par Les Restos du cœur et le Secours catholique

 

– Donner accès aux spectacles de la Boiserie avec des tarifs inférieurs à ceux pratiqués actuellement

 

 

 

Nous espérons que l’ambition de rendre la vie plus facile aux Mazanais se retrouvera dans le budget de la ville pour 2015.

 

Comptez sur notre élu, Jean-François Clapaud, pour continuer à faire des propositions dans ce sens.

 

 

 

 

 

Jean-François CLAPAUD

 

Texte du bulletin pour le mag de juin 2015

 

 

 

 

 

Juin, l’été arrive avec sa cohorte de touristes, d’animations estivales, de journées festives dans les communes du Comtat.

 

Et à Mazan ?

 

Quelle est la politique touristique de la mairie pour accueillir et retenir les touristes sur notre territoire ?

 

L’Office du Tourisme, vitrine de la ville, laissé à l’abandon durant toute la 1ère mandature Navello, a été repeint dernièrement suite aux interventions répétées de notre élu. Sa signalisation efficace reste à faire.

 

Celui-ci, qui est une association et non pas un service municipal, est l’outil de promotion de la ville. En 2015, pour son fonctionnement, il n’a pas obtenu la subvention qu’il avait demandée. La ville, avec une recette des taxes de séjour en forte augmentation, a pourtant les moyens de le financer.

 

Il y a quelques années un festival de théâtre, un rendez-vous jazz étaient appréciés des touristes.

 

Cela n’existe plus.

 

Avec une salle comme La Boiserie, ne peut-on envisager autre chose qu’une seule manifestation musicale en juillet ? Ne pourrait-on pas envisager un rendez-vous régulier sur une thématique particulière ?

 

La commune a de nombreux hébergeurs. Les touristes viennent à Mazan. Ils sont entre 8 à 10 000 à passer par l’Office du Tourisme, ils visitent le musée mais que faire d’autre ?

 

Sans les initiatives associatives, il n’y a pas d’animations dans la commune.

 

La municipalité doit avoir une vraie politique touristique, une implication directe dans l’organisation d’activités estivales. En a-t-elle la volonté, le souhait ?

 

 

 

Comptez sur notre élu pour continuer à faire des propositions constructives.

 

 

Jean-François CLAPAUD

 

 

Texte du bulletin pour le mag de septembre 2015

 

 

 

 

 

Bonne rentrée à tous et surtout à nos petits écoliers dans leur nouvelle école dont nul ne peut ignorer « qu’ils l’aiment déjà » au travers des affiches inondant le village. Communication ou propagande ?

 

 

 

Le Maire avait promis :

 

– une circulation fluide aux abords de l’école, c’est loin d’être le cas

 

– la sécurité pour les piétons par la construction d’une passerelle au pont de Gondoin, elle n’existe toujours pas

 

– une seconde cour de récréation pour « rassurer les parents », promesse non tenue

 

 

 

Le Maire avait justifié son projet :

 

– par le regroupement des fratries sur un même groupe scolaire. La sectorisation des écoles aurait eu le même effet à un moindre coût.

 

– par des effectifs scolaires qui iraient en augmentant, c’est faux. Ces dernières années des classes ferment régulièrement à Mazan.

 

– par la récupération des locaux de l’école Melle Foussa, « utilisables dans un premier temps en l’état », pour y déménager le centre culturel et la bibliothèque, c’est faux. Des transformations sont déjà prévues pour 250 000€. Combien à la fin des travaux ?

 

 

 

Des classes spacieuses et claires, une cantine moderne avec une ligne de self-service, on n’en attendait pas moins d’un projet de 4 millions d’euros. Dommage que, pour une telle somme, il n’ait pas été prévu de local dédié au sport (activités et matériel).

 

 

 

Dans la Provence du 11 juin, notre élu s’inquiétait de la dangerosité des entrées et sorties de l’école St Dominique. Nous nous félicitons du dispositif mis en place à la rentrée.

 

 

 

 

Jean-François CLAPAUD

 

Texte du bulletin pour le mag de novembre 2015

 

 

En mars 2014, pour les élections municipales, notre liste s’est constituée autour des valeurs d’humanisme, d’égalité, de solidarité, de justice sociale et de laïcité.

Nous avions proposé que chaque action, chaque décision apporte du mieux vivre pour tous.

 

Aujourd’hui les tragiques évènements que subit la France nous confortent sur la nécessité et sur l’urgence de faire que le « mieux vivre ensemble » soit une priorité. Au-delà des mots, il faut des actes. Nous devons tous nous sentir concernés.

 

Difficile dans notre commune, où les quartiers périphériques des Garrigues et de la Peyrière, très éloignés du centre et dans lesquels vit plus de la moitié de la population, sont délaissés depuis de nombreuses années (pas d’équipement collectif, pas de service, pas de lieu créant du lien social…).

 

Dans notre programme, nous avions proposé la mise en place de conseils de quartiers, élus démocratiquement, s’appuyant sur les associations d’habitants existantes pour créer des lieux d’échanges et de dialogue.

Etre acteur, se sentir concerné par la vie de son village et y participer c’est un bon début pour le « mieux vivre ensemble ».

 

L’équipe municipale, elle, a préféré désigner des correspondants de quartier dont le rôle n’est basé que sur la relation individuelle et dont l’efficacité n’est pas avérée.

 

Nous demandons que la politique municipale à l’égard des quartiers périphériques soit réexaminée car leurs habitants ont un fort sentiment d’abandon.

 

 

Jean-François CLAPAUD